Le hijāb ’’ متجدد 2024.

Le hijāb ’’ متجدد

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الحجـــــــــــآأإب…[موضوع متجدد ]

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Anasheed MON VOILE Mon Hijab Mon Droit d’Etre حجابي ــ حقي في أن أكون anachide أناشيد – YouTube

Poème d’un enfant dédié aux femmes qui s’exhibent.. – YouTube

:Le hijab
désigne « tout voile placé devant un être ou un objet pour le soustraire à la vue ou l’isoler ». Il désigne plus particulièrement le voile que des femmes musulmanes se placent sur la tête en laissant le visage apparent. Lorsque le visage est couvert, on parle de niqab, de burqa ou encore de sitar.

Le hijab est également appelé « voile islamique ».

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Terminologie

Le terme hijab

( : حِجَاب, hijāb) est issu de la racine hajaba qui signifie « dérober au regard, cacher ». Par extension, il prend également le sens de « rideau », « écran ». Le champ sémantique correspondant à ce mot est plus large que pour l’équivalent français « voile » qui couvre pour protéger ou pour cacher, mais ne sépare pas.

Selon les pays et les courants religieux, sa forme diffère : en Iran, par exemple, il s’appelle tchador et ne cache pas le visage ni les vêtements de la femme; par contre, en Afghanistan, dans certaines régions du Pakistan ou d’Inde où il s’appelle tchadri, il cache tout le corps ne laissant voir que le bas de ses jambes couvertes d’un pantalon (la femme sous son voile est habillée d’un pantalon recouvert d’une robe tombant légèrement sous les genoux) et à l’occasion ses bras et ses mains. Quand il s’appelle burqa, au sens qu’on lui donne depuis la fin des années 1980, il ne laisse rien voir du corps de la femme, ni ses mains, ni ses pieds : les Occidentaux l’appellent « voile intégral ». Traditionnellement, tchadri et burqa étaient des termes synonymes bien que le second ne soit connu que de l’intelligentsia afghane.

Dans un cone non arabophone, il désigne plus particulièrement le voile que certaines femmes musulmanes portent, couvrant la tête et laissant le visage découvert. Il est aussi appelé « voile islamique ». C’est le cas de pays comme la Malaisie ou l’Indonésie.

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Généralités

Musulmanes avec le hijab accomplissant la prière du Joumou’a (prière du vendredi)

Boutique vendant des hijabs à Damas en Syrie
Dans les sociétés musulmanes, la question a rarement eu l’importance qu’elle revêt aujourd’hui et le thème du voile n’a été abordé généralement dans la littérature musulmane que d’un point de vue théologique, obstacle offusquant la vision de Dieu et non comme tenue vestimentaire1.

Pendant longtemps, les légistes musulmans ont invariablement affirmé le caractère obligatoire du port du voile pour les femmes musulmanes nubiles de condition libre, en s’appuyant essentiellement sur l’interprétation du verset 31 de la sourate 24, ainsi que sur le verset 59 de la sourate 33, plus précis mais mentionnant le jilbâb, forme de manteau ou de châle. Le débat et les interprétations portent généralement sur la partie à cacher qui relève de l’interprétation du concept coranique de ‘awra, les parties à dissimuler au nom de la pudibonderie à la vue des autres, après la puberté2. Pour les femmes nubiles, il s’agit, pour la plupart des commentateurs, du corps entier à l’exception du visage et des mains, parfois des pieds1.

Dans l’idée du respect du principe général de la pleine qualification des femmes à la participation de la vie publique, la plupart des légistes tempèrent également l’obligation de se voiler1 si elle entre en contradiction avec cette participation3.

Le Coran présente le voile comme un signe de reconnaissance des femmes de musulmans qui les met à l’abri des agressions extérieures. Néanmoins, les commentateurs musulmans ont souvent abordé le sujet sous l’angle de l’éthique musulmane qui favorise la primauté masculine1.

Depuis quelques années, la question du voile est devenue l’objet d’un large débat, l’importance des codes vestimentaires sharaïques se posant de manière paradigmatique dans le cadre de la réaffirmation de la normativité musulmane face à l’influence supposée néfaste des mœurs et discours permissifs occidentaux. Ainsi, dans nombre de pays à majorité musulmane où il était l’exception, comme l’Égypte et la Turquie, il tend à se généraliser depuis le milieu des années 19801.

Considéré, selon différentes réalités, par certains comme un signe d’appartenance librement consenti et par d’autres comme un outil de réclusion et d’humiliation, il soulève des questions largement débattues ou commentées pour des points de vue largement divergents, s’écartant de la question plus générale de l’éthique vestimentaire dont il relevait traditionnellement1.

La dénomination « voile islamique » elle-même prête à confusion : elle suggère explicitement que le port du voile est une presciption de la religion musulmane, alors que, d’une part, il ne semble pas s’imposer dans toutes les communautés musulmanes, et que, d’autre part, il a existé et il existe encore dans des communautés non musulmanes. En réalité, le lien entre religion et « voile islamique » n’est pas formellement établi; il repose sur des interprétations qui varient selon les lieux et les époques. Si le « voile islamique » existe bien en tant que coutume, et s’il joue un rôle indiscutable de symbole identitaire pour certaines communautés musulmanes, son fondement théologique n’est pas établi de façon certaine.

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Dans les texes

Dans le Coran

En ce qui concerne le sens religieux, le mot hijab est utilisé cinq fois4 dans le Coran. Dans aucun cas il ne fait référence au vêtement féminin, pour lequel deux formules sont utilisées (khoumour et jalâbîb).

Le mot voile veut dire « rideau », il est devenu le symbole d’une séparation entre la femme et l’homme. En revanche, le mot hijab a le sens de « rideau » pour désigner l’isolement des épouses de Mahomet : « Et si vous leur demandez (aux femmes du prophète) quelque objet, demandez-le leur derrière un rideau : c’est plus pur pour vos cœurs et leurs cœurs »5. Cette séparation, d’abord réservée aux femmes de Mahomet, se serait ensuite postérieurement étendue aux femmes musulmanes en général.

Le terme « voile » en français, celui que l’on porte sur la tête est abordé (indirectement) deux fois dans le Coran :
Dans la sourate XXXIII, verset 59 :

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« Ô Prophète ! Dis à tes épouses, à tes filles, et aux femmes des croyants, de resserrer sur elles leurs voiles : c’est pour elles le meilleur moyen de se faire connaître et de ne pas être offensées. – Dieu est celui qui pardonne, il est miséricordieux ; traduction Denise Masson. »

Le mot traduit par « voile » ici et dans beaucoup de traductions est le mot arabe jalabibihenna (جَلَابِيبِهِنَّ), de jalâbib qui est le féminin pluriel de jilbab (la djellaba maghrébine ou la galabeyya égyptienne) qui signifie donc « robe », « habit », « châle » ou « mante ». Ce verset coranique constituerait donc davantage un appel à la bienséance et à la préservation sociale qu’une injonction vestimentaire spécifique.
Dans la sourate XXIV, versets 30,31 :

« Dis aux croyants de baisser leurs regards et de garder leur chasteté. C’est plus pur pour eux. Allah est, certes, Parfaitement Connaisseur de ce qu’ils font. Et dis aux croyantes de baisser leurs regards, de garder leur chasteté, et de ne montrer de leurs atours que ce qui en paraît et qu’elles rabattent leur voile sur leurs poitrines; et qu’elles ne montrent leurs atours qu’à leurs maris, ou à leurs pères, ou aux pères de leurs maris, ou à leurs fils, ou aux fils de leurs maris, ou à leurs frères, ou aux fils de leurs frères, ou aux fils de leurs sœurs (…) (versets 30, 31) ; traduction Muhammad Hamidullah. »

Le mot traduit par « voile » ici est le mot arabe « khimar » qui signifie « mante » ou « mantille ». Quant au terme rendu ici par « poitrines », il s’agit du terme arabe « juyub », que d’autres traducteurs ont rendu par échancrure, gorges, seins, ou encore décolletés6. Le terme juyub est utilisé par le Coran au singulier jayb (qui veut dire corsage, chemisier ou blouse6) à propos de Moïse (27:12 ; 28:32) dans le sens de l’ouverture de la chemise.

Chronologiquement, la sourate XXXIII précède la sourate XXIV7.

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Dans les hadiths

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Le hadith : « Un jour, la belle sœur du Prophète, Asma fille d’Abu Bakr rendit visite au Prophète, tout en portant des vêtements fins (riqâq). Alors le prophète dit : Ô Asma, quand une fille est pubère, il lui sied de ne laisser voir d’elle que le visage et les deux mains »8, rapporté par le compilateur Abu Dawud, est invoqué par la majorité des théologiens sunnites, chiites et ibadites, pour justifier l’obligation de voilement.

Ce hadith se classe dans la catégorie des hadiths faibles (il ne figure pas dans les recueils canoniques comme ceux d’al-Boukhari et de Muslim, et sa chaîne de transmission est absente, ou à tout le moins incomplète) ; or dans la jurisprudence musulmane, un hadith faible ne saurait former la base d’une disposition obligatoire. Certains libéraux avancent cet argument et d’autres pour remettre en question l’existence d’une pre************ion du voile.

Le compagnon de Mohammed, Abd Allah ibn Abbas, ainsi que son élève Mujahid et également Hasan Al Basri et d’autres, définissent l’expression « ce qui en parait » de la sourate XXIV, verset 31 comme désignant le visage et les mains qu’il n’est pas obligatoire de couvrir. Aicha, une des épouses de Mohammed, aurait quant à elle indiqué que l’expression désigne le visage, les mains et les pieds.

Chez les traditionalistes eux-mêmes, il y a débat sur l’étendue de la awra (la partie à cacher) de la femme. Abu Hanifa est d’avis que les pieds de la femme ne sont pas une awra tandis que Mâlik ibn Anas ou Ahmad Ibn Hanbal considèrent eux que les pieds de la femme doivent être cachés en se basant sur des avis postérieurs à Mohammed.

أختاه في عصر الذئاب

لاتنزعي عنك الحجاب

خافي من الله العذاب

و تذكري يوم الحسابخليجية

ما شاء الله موضوع رائع جدا
جزاك الله خيرا وأثابك الجنة ان شاء الله
خليجيةخليجيةخليجيةخليجيةخليجية

و جوزيتي بالمثل عزيزتي ليلي
اسعدني تواجدك الجميل
لا عدمناك…ربنا يوفقك
MERCI
UN SUJET خليجيةخليجيةخليجية
سعيده بتواجدك نانا
بارك الله فيك
كوني بالقرب
وااااااااااااااااااااااو روعه
يسلموووووووووووو اختي
مرسيييييييييييييييييي

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